Saint Jean pied de port, octobre 2012

L’un des bagages les plus lourds à porter réside dans notre besoin de contrôler ceux qui nous entourent. Que nous cherchions à changer la manière de penser ou d’agir de nos épouses, maris, enfants, parents, frères et sœurs, amis ou autres, nous faisons fausse route.

En tentant de changer les gens (ce qui revient à essayer de les contrôler), nous allons à l’encontre de l’essence de ce qu’ils sont, à ce moment donné de leur existence. Nous ne tenons pas compte du fait qu’ils ont leur propre cheminement à accomplir, leurs propres leçons à apprendre, leurs propres capacités et leurs propres objectifs.

Ils sont venus sur Terre pour accomplir des choses différentes des nôtres. Par conséquent, ayons la sagesse de ne pas nous mêler de leurs vies et de les laisser devenir ce qu’ils doivent devenir.

Que tu fasses ce que tu aimes pour ton propre plaisir.

Ou que tu fasses ce que tu n'aimes pas par peur de déplaire,

il y aura toujours quelqu'un qui critiquera quelque part.

Alors pourquoi pas faire ce que tu aimes dès maintenant?

Claude D'Astous

Un instant hier, je n'ai plus pensé aux gros soucis de santé de mon mari.

Un instant, j'ai été émerveillée par les rires d'enfants.

Mon petit fils est resté en vacances jusque hier après midi, nous sommes allés le ramener à ses parents et sommes rentrés ce midi.

Nous avons vraiment profité de sa présence et lui a bien profité aussi, il avait besoin de rompre un peu son rythme, de se reposer.

Le manège à Auchan, j'aime ça!

A la cafeteria, il parait que je force mon sourire!

Mercredi ma grande voisine de 6 ans est venue passer la matinée, elle m'a même aidé pour le petit déjeuner.

On est même allés porter de la nourriture aux chevaux, mais ils avaient fait une fugue dans la nuit et étaient parqués plus loin.

Alors on est venus jouer dans le jardin, quel bonheur avec les balançoires.

Sur la terrasse

C'était génial

Et je vous présente mon meilleur ami.