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    Il y a de cela plusieurs années, un père punit sa fillette de 3 ans pour avoir inutilement dépensé un rouleau de papier doré.

    L'argent se faisait rare et il ne put supporter que la fillette utilisa le papier pour décorer une boite à cadeau pour occuper le dessous de l'arbre de Noël.

    Le lendemain matin, la petite fille apporta le cadeau à son père en lui disant : «C'est pour toi Papa ». Embarrassé, son père regretta sa trop vive réaction.

    Toutefois, elle se raviva et ne fit qu'empirer quand il découvrit que la boite était vide. Il cria alors à sa fille «Ne sais-tu pas qu'en offrant un paquet-cadeau, il doit toujours y avoir quelque chose dans la boite ?».

    La fillette regarda son père les yeux pleins d'eau et lui dit: «Mais papa, la boite n'est pas vide, je l'ai remplie de baisers, juste pour toi!!». 

    Le père était chaviré. Il enlaça sa fille, la priant de lui pardonner sa réaction. Peu de temps après, un accident vint faucher la fillette. Le père garda longtemps la boite, tout près de son lit. A chaque fois que le découragement l'assaillait, il prenait la boite, en tirait un baiser imaginaire et se rappelait l'amour que l'enfant y avait mis.

    Au fond, cette fable nous rappelle qu'il est donné à chacun de nous, comme humain, de disposer d'une telle boite dorée, remplie d'amour inconditionnel et de baisers de nos enfants, de nos ami(e)s, de notre famille ou de Dieu. Existe-t-il de plus grands cadeaux ?

     

    Auteur inconnu


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    Un monsieur rencontre un ami portant un tonneau sur ses épaules : - Où vas-tu avec ce tonneau ? - Eh bien, chez mon docteur. La dernière fois que je l’ai vu, il m’a dit de revenir dans un mois avec mes urines.

     


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  • Il était une fois un petit garçon qui voulait rencontrer Dieu. Comme il savait que ce serait un long voyage pour se rendre à Sa maison, il remplit sa valise de bonbons et de six bouteilles de limonade, et il se mit en route.

    Trois pâtés de maisons plus loin, il vit une vieille dame. Assise dans le parc, elle fixait quelques pigeons. Le garçon s'assit près d'elle et ouvrir sa valise. Il s'apprêtait à prendre une limonade lorsqu'il remarqua l'air affamé de la vieille dame. Il lui offrit donc un bonbon. Elle accepta avec reconnaissance et lui sourit. Son sourire était si joli que le garçon voulut le voir encore. Il lui offrit donc une limonade. Elle lui sourit de nouveau. Le garçon était ravi !

    Ils restèrent ainsi tout l'après-midi à manger et à sourire, sans dire un seul mot.

    Lorsque le soir tomba, le garçon se rendit compte qu'il était très fatigué et se leva pour partir. Cependant, au bout de quelques pas à peine, il se retourna, courut vers la vieille dame et la serra dans ses bras. Elle lui fit alors son plus beau sourire.

    Peu de temps après, lorsque le garçon franchit la porte de sa maison, son regard joyeux étonna sa mère.

    Elle lui demanda : «Qu'as-tu fait aujourd'hui qui te rend si heureux ?»

    Il répondit : «J'ai déjeuné avec Dieu». Mais avant que sa mère puisse répondre, il ajouta : «Tu sais, elle a le plus merveilleux des sourires !»

    Entretemps, la vieille dame, rayonnante de joie elle aussi, retourna chez elle.

    Frappé de l'expression paisible qu'elle arborait, son fils lui demanda : «Mère, qu'as-tu fait aujourd'hui qui te rende si heureuse ?»

    Elle répondit : «Au parc, j'ai mangé des bonbons avec Dieu». Mais avant que son fils puisse répondre, elle ajouta : «Tu sais, il est beaucoup plus jeune que je ne le croyais».

    Julie A. Manhan

     

     


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