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    Est ce la fin ? enfin ? de ce long cauchemar concernant la santé de mon mari, cela dure depuis la mi Septembre 2009, pour ma part l'inquiétude est venue début Octobre quand je me suis aperçue que les divers traitements n'avaient aucun effet sur son aphonie.

    Puis sont arrivés les examens et consultations, de l'ORL au chirugien du centre anti cancéreux, en passant par le gastro entérologue, pour terminer avec l'oncologue et le radiothérapeute.

    Il a subi aussi dans un premier temps un scanner, puis un tep scan, puis un essai de biopsie sous échographie, puis une opération otant le nodule le 31 Décembre, afin d'effectuer une vraie biopsie.

    Les résultats tant attendus m'ont été donnés au téléphone par le professeur chirurgien, c'était le 13 Janvier, tout a basculé. Se sont enchainés les traitements, après d'autres scanners, chimiothérapie et radiothérapie en même temps.

    Un traitement de cheval avaient prévenu les médecins, en effet, mon mari a été bien cassé, diminué, il ne s'est pas alimenté pendant tout le mois d'avril, il avait perdu 10 kg.

     

    Mais voilà sa force de vie, son courage ont été les plus forts et je l'admire pour cela, même si pour moi aussi tous ces mois de souffrance ont été très difficiles, angoissants, je me sentais tellement impuissante de le voir et de l'entendre dans ses douleurs et ses malaises.

    Il a repris une alimentation "normale", il a récupéré 5-6 kg, tout cela en un mois. Il recommence à bricoler, il est fatigable forcément, mais il va bien aujourd'hui.

    Il est toujours aphone, mais il a commencé la rééducation ortophonique qui devrait fonctionner à plus ou moins long terme. Il tousse encore beaucoup, mais j'espère que cela va s'méliorer.

     

    Cet après midi, il repassait un scanner de contrôle, nous n'aurons les résultats que le 9 Juin, 9 longs jours d'attente, je suis confiante, lui aussi, mais en se rapprochant de la date, je sais que l'angoisse va monter.

     

    Si tout va bien, nous allons partir pour trois semaines de vacances, ou ? nous n'en savons rien, ou le camping car nous emmènera, vers le sud c'est sur.

    Nous avons envie de profiter jusqu'à quand ? avec cette épée de Damoclès ? alors profitons, vivons !!! du mieux que nous pouvons, aussi longtemps que nous pourrons.

     

     

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    La fête des mères au temps des Gaulois

     

    La fête des mères remonte au temps d’Astérix, c’est une tradition très ancienne ! Les premiers à avoir instauré une journée consacrée aux mamans sont les Grecs et les Romains, qui organisaient chaque année au printemps une cérémonie en l’honneur de Rhéa et Cybèle, les divinités mères des Dieux.

     

     

    La fête des mamans françaises


    Mais en France célébrer les mamans et plus généralement la famille, est une idée de Napoléon. C’est le premier qui a évoqué l’idée d’une fête des mères officielle au printemps en 1806. Au départ, le but était d’honorer les mères de familles nombreuses.

    Il faut cependant attendre le 20 avril 1926, pour que la première  "journée des mères" nationale ait lieu. Il s'agissait alors d'honorer les mères de familles nombreuses, avec remise de "Médailles de la Famille française". Elle n'a jamais eu grand succès jusqu'en 1941,  moment, où le Maréchal Pétain institue la fête des mères pour repeupler la France qui souffre de la seconde guerre mondiale. Pour Pétain, la famille est une valeur essentielle pour la France. Il a souhaité officialiser cette fête pour attirer l’attention sur le rôle de la femme au foyer. Son discours est réputé pour la polémique qu’il a entraînée. Certains lui ont reproché sa vision de "femme-objet".  La grande "invention" de Vichy, ce fut d'honorer toutes les mères, d'en faire une fête familiale et d'en laisser la prise en charge aux enfants eux-mêmes, tout en faisant encadrer ces activités par les maîtres d'école. Bref, le collier de nouilles, c'est depuis Pétain !
    En 1950, cette fête très populaire est officiellement fixée au 4ème dimanche de mai. Si ce dernier est le dimanche de Pentecôte, la fête des mères est reportée au premier dimanche de juin.

     

     


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    Si le travail c'est l'opium du peuple, alors je ne veux pas finir drogué...

     

    Boris Vian

     


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